Il y a eu beaucoup de maisons d’édition sur Barbizon, ce qui en dit long sur son attrait touristique au XX° siècle, l’arrivée du tacot depuis la gare de Melun ainsi que la construction de nouveaux hôtels a permis la venue d’un nombre croissant de visiteurs jusqu’en 1914 puis jusqu’en 1939 et enfin jusqu’à nos jours.

Les éditeurs se distinguent en trois groupes; les locaux, les régionaux et les nationaux, les locaux en commençant par le premier , Siron, le plus prodigue en photographies de Barbizon, puis avec la concurrence de l’élargissement de sa production sur les communes environnantes du village. Celle-ci s’arrête avec la mort du premier Siron photographe et une reprise courte avec son successeur sur Fontainebleau.

d’autres locaux se lanceront dans l’édition surtout pour leur établissement respectif.

Les régionaux sont surtout à Melun et Fontainebleau les deux villes proches et ayant la population suffisante pour permettre une production rentable.

Avec le tourisme de masse les éditeurs nationaux se sont évidement lancés dans la production pour assurer un approvisionnement suffisant.

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